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Les roses s’éveillent en grappes luxuriantes, elles s’émeuvent d’un matin pâle. Le regard s’élève sur des marches éclaboussées d’un reste de temps humide, s’imprègnent de clarté, comme hésitantes à vieillir. Verdure, jeune encore dans l’effleurement jaune des touches balbutiantes, vert pâle dans la chaleur du matin, l’essuyant d’une lumière blanche, la porte donne sur le jour. Les roses tombent en grappes d’une coquetterie de pastel tendre, elles sont aussi la lumière, dans la beauté fraîche d’avant midi, beauté des temps à venir et de l’espérance, promesse des bouquets de reflets purs, c’est la beauté fragile de l’enfance.
Peindre c’est surement pouvoir dire le monde et nos émotions comme avec des mots ou de la musique.