Week-end pluvieux annoncé dans le sud, de quoi en profiter pour travailler encore la technique humide… Toujours si délicate.. A ce sujet, une élève me confiait récemment (texto) : « quand je mouille beaucoup je ne contrôle plus rien, ça part dans tous les côtés, je perd mes moyens et je panique un peu… » Surprenant aveu, mais qui demande beaucoup de concentration pour que ma réponse soit satisfaisante……….
Hé oui, le travail dans l’humide requiert un certain lâcher prise, une sorte d’abandon au hasard, qu’il faut accepter, même quand ça ne ressemble à rien au début.. Le vrai travail commence après, se servir de ces tâches, les diriger ou les créer plus ou moins volontairement, et continuer l’aquarelle dans la sérénité de la création…
Il faut en rater beaucoup avant d’en réussir…
Et surtout savoir s’arrêter au bon moment !
Un petit mot pour finir, pour dire que le stage du 16 mars à Martigues est déjà complet..