Je dédie cette aquarelle à un certain élève qui se reconnaîtra , car elle n’aurait pu se faire sans lui.. Ce grand pin, avec le mont Ventoux derrière, je l’ai traité avec 4 ou 5 couleurs au total, pas plus, et en laissant beaucoup de blancs pour les amandiers et autres buissons fleuris d’en ce moment.
Vous aurez reconnu le Terre de Sienne brûlée, les bleus outremer et indigo, bien sûr, et sans doute un peu de Caput Mortum… (Ben voyons !)..
Enfin, dans cette aquarelle, comme dans bien d’autres, j’ai fait des erreurs, et je continue d’en faire, par des mauvais choix ou des approximations , des maladresses etc… Mais (deuxième dédicace pour celle qui se reconnaîtra), j’accepte de ne pas être parfait, car au moins c’est ce que je suis..
Je viens de découvrir votre blog et j’adore car je découvre aussi l’aquarelle ; ça m’aide !
Accepter de ne pas être parfait(e) …. c’est peut-être bien là la clé de la libération ?! Après avoir lu votre post, j’ai pris la plus grande feuille de papier aquarelle possible, et j’ai barbouillé un ciel immense avec de gros nuages cotonneux… Je me suis retrouvée la tête dans les nuages, j’aurais voulu plonger dedans. Je ne m’étais jamais « lâchée » comme ça pour peindre, et ……………. qu’est ce que ça fait du bien !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Hé oui… ça me rappelle une chanson de dessin animé que vous connaissez bien…(« libérééééée, délivrééééée…! »)
Cette aquarelle et les couleurs sont absolument magnifiques !