Il y a plus de deux ans j’avais partagé cette citation de Camus, où il disait ressentir au milieu de l’hiver, un invincible été.. C’est en effet dans le froid et le désespoir le plus bas que l’on peut trouver cette petite lumière, invincible, éternelle, qui donne à nos jours la force et la volonté de continuer, malgré tout.. L’instinct de survie plus fort que tout.
La chaleur ressentie ces derniers jours est désespérante par moments, et les coins de fraîcheur sont des oasis dans le désert..
Pour illustrer cet ancien article j’avais transformé une aquarelle hivernale en aquarelle de plein été, avec même quelques lavandes.. (certains s’en souviennent – article du 2 janvier 2017). Cette fois-ci, je suis parti également d’une aquarelle hivernale, sur laquelle j’ai retravaillé, et transformé les bruns , les blancs et les bleus en féeries de couleurs printanières, (arbres de Judée et coquelicots notamment)..
Je n’ai pas retrouvé de photo de cette aquarelle avant transformation, mais vous pouvez imaginer..
Un mot pour dire que le premier des exercices de l’été a commencé, et l’on peut dire que ça roule bien, avec ce vieux vélo inspirant.. Vous aurez jusqu’au 15 juillet (ou avant), puisque je proposerai 2 sujets en juillet.
Un mot aussi pour rappeler le stage prévu du 6 au 9 août. N’attendez pas le dernier moment pour vous inscrire, les places sont limitées..
Enfin, comme c’est la saison, je termine par cette petite aquarelle de lavandes, si chère aux touristes asiatiques, et d’ailleurs…
Le bleu des lavandes fait comme des vagues de fraîcheur, dans la chaleur de l’été..
C’est juste une perception…
Vos textes et réflexions sont pleins de sagesse. Merci.