« J’aime les coquelicots à cause du nom qu’ils portent, co-que-li-cots.. C’est gai, il y a même là-dedans des rires d’enfants heureux.. » (R. Gary)
On ne compte plus les magnifiques champs de coquelicots qui rougissent le bord de nos routes, les gens s’arrêtent pour photographier, tentant d’immortaliser la beauté éphémère .. Je le fais de temps en temps aussi, mais je choisis également l’aquarelle.. C’est donc ce thème que nous avons abordé lors du dernier stage. L’accent étant mis sur la lumière et la transparence des pétales, de même que sur la façon de traiter le fond.. (J’en profite pour saluer Dominique et Christiane pour leur gentillesse).
Nous avons également travaillé les coquelicots dans le paysage.
Vous reconnaîtrez la Ste Victoire. Cela fait certes beaucoup de rouges coquelicots, mais il y a comme une fascination qu’exercent ces fleurs des champs.. Leur éclat ? Le symbole des beaux jours qui reviennent ? Peut-être aussi parce qu’un coquelicot fané ne refleurit jamais et qu’il symbolise la fragile beauté de l’instant..?
Si l’on recherche l’étymologie du mot cela a un rapport avec le coq, car sa couleur rappellerait la crête du coq.. Je préfère encore la poésie et la contemplation à l’étymologie..
Pour ce qui concerne les exercices sur mon site, mes commentaires ont été postés ; j’ai dû supprimer quelques uns de vos commentaires pour que les miens puissent être visibles.. Le prochain sujet sera posté le 1er juin.
Je termine avec cette citation :
« Des millions de fleurs s’ouvrent sans force. Vous aussi ne forcez rien, toute chose arrive au bon moment. »
Merci d’avoir partagé votre talent. Je vais terminer ainsi le travail commencé en stage et même certainement le recommencer en essayant de ne pas refaire les mêmes erreurs. Bonne semaine Jacques.