S’accrocher à l’automne

Comme on s’accroche à la nostalgie de la douceur des jours passés.. Cette petite image est très symbolique de ce que l’on pourrait ressentir à la vue des dernières feuilles qui s’envolent ; inévitablement..

J’en pince pour les couleurs d’automne, et l’aquarelle est là pour en immortaliser les splendeurs, même si l’hiver, hélas, arrive bientôt.. Certes, il aura ses beautés lui aussi, mais parfois l’on s’accroche à ce qui nous semblait mieux.. Les saisons s’enchainent, et la vie défile..

Voici donc mes 2 dernières aquarelles d’automne. La première est un hommage à la Ste Victoire ; un travail sur la profondeur, les contrastes des vignes colorées par rapport aux oliviers, aux cyprès et à la montagne..

Ceux qui ont connu Aix devraient apprécier. (Format 30 x 40 cm ).

La deuxième est une reprise d’un sujet abandonné par un élève ; d’après une photo que j’avais prise près de Mazan :

J’avais traité ce sujet il y a quelques années. On y aperçoit une montagne au fond, bien connue de certains lecteurs de ce blog..

Il y a peu de chance que vous puissiez voir d’autres aquarelles automnales, celles-ci fermant la porte de la saison. Il est probable que la prochaine fois il y ait des paysages d’hiver, ou des fruits..

ATTENTION ! De nouveaux sujets d’exercices ont été postés sur l’onglet dédié de ce site.. Hé oui, c’est très en avance par rapport au 1er décembre, mais je n’avais pas le choix. Exceptionnellement vous aurez jusqu’au 3 décembre pour envoyer votre photo.. (En clair vous avez toute la semaine prochaine), après je n’aurai pas le temps de poster mes commentaires..

Vous avez le choix cette fois entre un magnifique ciel sur des champs de vignes, (photo de P. de Charleville), ou alors de magnifiques courges ; la particularité c’est que cette photo a été complètement générée par une intelligence artificielle.. C’est incroyable ce que l’on peut arriver à faire avec ça.. (Paraitrait qu’ils sont même arrivés à créer une image de ma tête avec une perruque pendant le confinement.. j’étais pas au courant..) Bref.. Et puis, troisième possibilité : UN pêcheur à Sète. Et une mouette au dessus de cabanes de pêcheurs (chères à Francis Cabrel).. Photos prises par mon fils Valentin. C’est l’occasion d’oser s’attaquer à un personnage. Osez sortir de votre zone de confort..! Prenez juste plus de temps pour le dessin.. Un pêcheur à Sète (peut-être un pêcheur ascète) c’est toujours mieux et plus courant qu’un pêcheur à Troyes. Sis devant ses filets. Tout ça fait bien du neuf (comme sujet), alors profitez-en.. Sète , un beau roman, Sète une belle histoire, Michel Fugain aurait presque pu en faire une chanson..

Bon , j’arrête là mes propos sibyllins pour certains (tiens, encore un mot rarement utilisé), je vais essayer de me réjouir de la libération d’otages (quels qu’ils soient), sans me consterner du reste.. Il y aurait de quoi, mais je préfère m’accrocher aux illusions de la beauté..

« S’accrocher à l’automne, avant le froid d’hiver,

Comme quand l’on déraisonne à vouloir se défaire

Des illusions que donnent la chaleur des amants

Et de l’été qui sonne le bonheur du moment.. »

A bientôt !

Que la sérénité débarque

Dans un climat mondial un peu tendu en ce moment il est clair que nous avons besoin de calme et de sérénité. Les couleurs d’automne y contribuent un peu (à notre niveau) , et pour une aquarelle il suffit de rajouter quelques reflets sur une eau tranquille, quelques barques, et l’impression de douce poésie se dégage.. « Là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe , calme et volupté ».. Baudelaire acquiescerait je pense. Le luxe c’est surtout le silence, de nos jours. Loin du tumulte des médias et des réseaux sociaux .Un luxe inouï.

Cette aquarelle fut donc réalisée en cours avec mes élèves :

Un travail sur le ciel et l’eau, les effets de brume et les reflets. Les 3 barques ont été rajoutées après (pour combler le vide qu’il y avait à gauche). C’est sûr que dans un endroit pareil pas besoin d’écouter du JuL. Profiter de l’instant c’est le plus important. La sérénité des barques nous emporte dans la contemplation, de reflets en réflexions, de poème sur le temps suspendu, l’espace d’un instant..

Oui, les couleurs automnales sont inspirantes pour la peinture ou la poésie ; certains arbres comme le sumac, l’érable du Japon, le liquidambar, le mûrier de Chine , le figuier, sont des palettes naturelles de couleurs pour l’artiste.. L’amélanchier aussi (mais ce dernier rend difficile la possibilité de lui trouver une rime riche dans un poème.. Bref..). La nature est un cadeau, prenons en soin..

Novembre apporte aussi hélas les premiers miasmes des petites infections ORL, rhumes, bronchites, etc… De quoi rendre certains élèves valétudinaires, enchifrenés, égrotants ou cacochymes… (oui, oui ces mots existent ; je ne les ai pas entendu chez Cyril Hanouna ou dans la Star Academy c’est sûr, mais c’est amusant d’utiliser des mots jamais employés.. Vous regarderez sur Google..).. Bref, je m’amuse des mots, tout ça pour dire qu’il faut penser à booster ses défenses immunitaires ; manger sainement et randonner, si vous le pouvez.. La nature vous attend.

Cette aquarelle est la dernière des aquarelles retouchées , comme lors du dernier article :

Douceur au bord du canal (de Carpentras) 30 x 40 cm. Certains reconnaitront un sujet traité il y a quelques années. Là aussi les reflets amènent la sérénité, voire l’introspection, et même sans barque on se surprend à embarquer dans les rêves que donnent ce paysage..

Je souhaite sincèrement que les argentins pourront embarquer vers une société meilleure et plus équitable depuis l’élection de leur nouveau président (hier), mais vu le portrait qui en est fait j’ai de très gros doutes ; on se demande vraiment où va le monde..

Concernant le Black Friday, cette fête consumériste, ne comptez pas sur moi pour faire des rabais sur le prix de mes aquarelles . Les prix n’ont quasiment pas changé depuis 4 ou 5 ans, c’est déjà donc une forme de promotion. Vous pouvez passer à l’atelier de Velleron si vous avez l’idée d’un cadeau pour les fêtes, il suffit de m’envoyer un mail ou un sms ; je serai disponible jusqu’au 3 décembre. Après il sera trop tard, je serai racheté par l’Arabie Saoudite..

Bon, j’arrête de dire des bêtises ; prenez surtout soin de vous (et de vos pensées)..

A bientôt !

Oser métamorphoser

Il m’en faut peu pour m’inspirer. Une ébauche, une tache, un ratage (supposé) d’aquarelle, cela peut être suffisant pour créer quelque chose d’autre, avec une pointe d’imagination et des fleurissements plein la tête ; par exemple.. La vie est plus belle en couleur.

Juliette Armanet aurait chanté « Imaginer l’Amour, les étoiles en plein jour.. », en ce qui me concerne je laisse s’exprimer ce qui vient, comme une poésie de la beauté des paysages qui nous entourent, Avec la pointe du coeur en guise de pinceau. Oui, cela peut paraître mièvre pour certains, naïf au mieux, mais je m’en moque, à vrai dire quand on ose on se trompe parfois mais quand on n’ose pas on se trompe toujours.. Cela s’applique à l’aquarelle, bien sûr, mais à d’autres domaines aussi.

Oser métamorphoser. C’est ce que j’ai fait sur les 2 chutes d’aquarelles qui m’ont été confiées. La première représentait des marches, aux pourtours fleuris, un sujet que j’avais donné il y a quelques années à mes élèves. Voici donc la photo avant (projet abandonné) et la photo après (remise à flots) :

Il ne faut pas hésiter à « repepser » les couleurs, à fleurir encore et encore, comme des baisers que l’on ne donne (ou ne reçoit) jamais assez.. Le monde en a besoin ; et nous sommes tout un monde. J’ai intitulé cette aquarelle « Vers le jardin d’Eden ». Sans doute faut-il gravir quelques marches (faire quelques efforts) pour découvrir le merveilleux. Cela en vaut la peine.

Dans cette autre reprise, c’était plus difficile ; à partir d’une tache il m’a fallu imaginer ce que je pouvais en faire. J’ai cherché. Et puis, quand on écoute son coeur les choses se mettent progressivement en place.. Voici là aussi la photo avant (une tache) et ma réinterprétation :

On a du mal à reconnaitre et pourtant il s’agit bien de la même feuille. Des lavandes et un cabanon sont apparus. J’en profite pour remercier chaleureusement cet élève (qui se reconnaitra) pour le don de ces feuilles et pour sa gentillesse en général.

En plein mois de novembre, cela fait du bien de peindre des fleurissements. L’actualité le mérite. J’ai aussi regardé à la télé dimanche soir un reportage consternant sur l’état de l’éducation nationale en France. Baisse du niveau général, baisse du respect envers les professeurs, agressions, dégradation des infrastructures, etc… le constat était déplorable. Les gens n’imaginent pas combien il est difficile d’enseigner. Cela apporte des joies, certes, mais il faut des trésors d’énergie et de résistance pour supporter les perpétuels râleurs ou insatisfaits .. (En étant moins payé qu’un footballeur).. Bref.

Une petite histoire plus souriante pour finir. Cela fait plus de 10 ans que j’ai un petit poulailler dans mon jardin. Mes 2 poules sont maintenant trop vieilles et ne pondent plus (depuis plusieurs mois) mais je les garde par sympathie. L’autre jour, quelle drôle de surprise de trouver dans le poulailler un adorable petit chaton d’environ 2 mois.. (Comment est-il arrivé là ?? Mystère..).. Nous n’avons pas pu le garder très longtemps (même pas eu le temps de trouver une recette sur internet..), notre voisine a bien voulu l’adopter.. Nous le reverrons donc certaines fois. Ceci pour dire, symboliquement , qu’il y a beaucoup d’êtres qui traversent nos vies , qui nous apportent de la lumière, de la joie, ou simplement le cadeau de leur présence, qu’importe la durée, que ce soit une journée (comme pour ce chaton) , quelques semaines ou des années, rien ne meure de ces rencontres. Le plus difficile est juste d’en accepter la brièveté.

Voilà ; un peu d’aquarelle, un peu de réflexion, et pour finir un peu d’ironie.. J’ai aperçu dernièrement le visage de Madona. Bon, à 65 ans on peut dire qu’elle assure encore sur scène.. Mais côté chirurgie esthétique cela semble assez…effrayant.. Tant d’effort pour Paraître..(encore jeune).. Du coup, j’en viens presque à aimer mes rides. La Métamorphose (de Kafka) transformerait certains en cafard, d’autres en poupée de cire inexpressive ; un peu comme dans les filtres Instagram pour paraître ce que l’on est pas.. Triste époque..

J’avoue, j’ai plein de défauts. Mais la vie est trop courte pour ne regarder que cela.

A bientôt !

Mélancolie d’automne

Il pleut, il fait froid et humide, il y aurait de quoi se plaindre (comme tout bon français qui se respecte), mais je me garde toujours de tomber dans l’insatisfaction permanente de ce qui me manque alors qu’il faut se réjouir de ce que l’on a.. J’ai par exemple un cousin en Bretagne qui , suite à la tempête Ciaran, a eu plusieurs jours d’électricité coupée, 9° dans la maison, il est facile de relativiser. Et c’est encore plus évident quand on voit à la télé les champs de ruines dans lesquels vivent certaines populations à cause des guerres actuelles.. Se plaindre de la grisaille serait déplacé.

Il subsiste cependant une forme de mélancolie automnale, le front aux vitres à regarder la pluie, comme on regarde ces heures qui défilent et nos souvenirs, et l’on succombe à penser , comme le chantait Barbara : « Que tout le temps perdu ne se rattrape plus »..

Le front aux vitres, pour ceux qui aiment la poésie, est une référence à Paul Eluard, quand il écrivait :

« Le front aux vitres comme font les veilleurs de chagrin, Je te cherche par delà l’attente, par delà moi-même, Et je ne sais plus tant je t’aime, Lequel de nous deux est absent.. »

Ce sont des vers magnifiques, que je pourrais dédier à l’aquarelle quand cela fait quelques jours que je n’ai pas peint. Il y a une forme de manque. Une forme d’addiction à ce plaisir de manier l’eau et les pigments de façon à faire naitre un imprévisible paysage.. La beauté est dans l’imprévisible.

Voici un exemple de ce qui est sorti de ma tête récemment :

Une féérie de l’automne. Mais ce qui rend la chose intéressante c’est la possibilité de le voir aussi comme un printemps aux champs de coquelicots. Nous voyons toujours les choses comme cela nous arrange. Pour info, cette aquarelle a été peinte sur du Canson Montval, format 35 x 50 cm.

Voici une autre vision, vraiment très automnale cette fois :

Travaillée (comme la précédente) dans le mouillé sur mouillé. Intitulée « Chanson d’automne », sans doute à cause des chansons qui me viennent en tête quand je peins.. « Une chanson que me fredonne l’automne, les tâches rousses de septembre, etc.. (je n’ose même pas vous donner le nom de ce chanteur espagnol… trop kitsch..)… Bref.. Le temps est vraiment à la nostalgie et des feuilles mortes (qui se ramassent à la pelle)..

N’allez pas croire que mes aquarelles actuelles ne sont qu’automnales ; mes élèves peuvent témoigner de celles représentant des calanques ou des oiseaux en ce moment, mais elles sont inspirées d’autres aquarellistes et je ne peux les afficher sur mon site .

Les réponses aux exercices ont été extrêmement rapides ce mois-ci , je n’ai pas eu la possibilité de poster celles de Dominique ou Claire par exemple, comme quoi les sujets proposés vous ont inspiré.. J’ai pris le temps d’écrire mes commentaires hier. Je ne suis pas sûr de pouvoir poster ma propre version, tout dépend de ma disponibilité.

La vision (déjà !) des décos de Noël, des chocolats, etc.. dans les grandes surfaces me désespère.. Et si par malheur j’entends Mariah Carey chanter « All I want for christmas » là j’ai carrément envie de crier.. (Un peu le cri que l’on fait quand on pose ses fesses sur la lunette trop froide des toilettes..).. Désolé. Je râle.. Bon , je continue : Pour Noël, faite simple.. inutile de m’offrir une Ferrari ou une Porsche.. JE N’AI PAS LA PLACE !! Du papier aquarelle suffira. (C’est presque le même prix, si c’est de l’Arches.. j’exagère à peine..). Ouais , je plaisante, ceux qui me suivent depuis longtemps savent que je ne suis pas très attaché aux choses matérielles.. La santé de mes proches c’est le plus important.

Prenez donc soin de vous, réjouissez-vous de la beauté de la pluie qui tombe (comme  » des perles de pluie venues de pays où il ne pleut pas »), et si la mélancolie vous épouse parfois, n’en prenez que le meilleur pour peindre de belles aquarelles..

La vie est faite de tout cela.

A bientôt !

Et de neuf (… sans faire de l’ancien)

Voilà donc une neuvième saison (déjà) qui vient de se terminer à Roussillon. Il semble qu’elle est passée plus vite que les autres, peut-être à cause de l’actualité, peut-être à cause du travail qui a été intense.. Même si au final j’ai vendu moins d’aquarelles cela a été compensé par la vente de grands formats que je ne vends pas si souvent.. Mes ruelles sont parties, certains paysages dans le mouillé, quelques rivières.. Tout le reste est maintenant ramené à la maison ; un grand bazar ; provisoire bien sûr.. Ah oui, j’oubliais : je n’ai plus de fruits (et même mon lit se transforme en*… présentoir..).. Il faudra donc que je peigne beaucoup cet hiver pour reconstituer un stock . Neuf ans à faire du neuf, des aquarelles toujours originales et différentes, même si certains sujets plus anciens ont été refaits , mais avec un oeil nouveau. Le grand défi est là : se renouveler. Ne pas tomber dans la répétition et s’enliser dans la caricature de soi-même.. C’est cela le plus difficile. Vraiment. Car l’on est confronté à la demande (souvent commerciale) de ce qui se vend, au détriment de la création pure et épanouissante.. Rattrapé par la réalité économique. Payer son loyer, ses URSSAF, ses fournitures, etc.. Il y a pire comme dilemme, j’en suis conscient. Je reste accroché à mes rêves (d’artiste), comme un enfant accroché à ses illusions, comme un chêne à ses racines profondes, comme un intégriste accroché à sa vision moyenâgeuse du monde (Humm, parallèle un peu foireux, j’avoue…) . Heureusement j’éprouve toujours du plaisir à peindre, quel que soit le sujet ; et c’est le plus important.

Mon dernier paysage dans le mouillé est une parenthèse printanière en cet automne pluvieux : Les (fameux) arbres de Judée :

Un format assez grand (45 x 48 cm environ), sur du papier Canson Montval. Un genre d’envolée lyrique qu’il est agréable de faire.

Novembre commence sur des bases assez agitées niveau météo.. Les tempêtes sont fortes, pluies et vents au rendez-vous. C’est très pénible d’avoir les cheveux dans les yeux avec ces bourrasques et d’être tout le temps en train de se recoiffer.. Sans compter que je frise.. Ben voyons.. Oui, je sais, je frise surtout le ridicule, mais bon , au moins il ne tue pas.. Si je raconte des bêtises c’est bien sûr pour faire sourire un peu. En ce moment le monde a besoin de sourires, et d’émerveillements.. Même sur des choses dérisoires (comme on peut les trouver sur ce blog)..

Il y a de quoi s’émerveiller de bien des choses, il suffit juste de prendre le temps. Les ciels sont magnifiques, les couleurs d’automne également :

Cette petite aquarelle est juste là pour vous le rappeler.

L’automne est comme musical. Une symphonie de couleurs. Une valse. Une valse à 3 temps, une valse à 20 ans, comme disait Brel : une valse à 1000 temps offre seule aux amants 333 fois le temps de bâtir un roman…

Ouais, encore des références de vieux croutons.. Désolé. Je reste nostalgique d’ une vision du monde plus simple et plus tolérante. J’ai toujours du mal à comprendre pourquoi l’on peut tuer pour des questions de religions, de races ou de territoires.. Tant de siècles d’évolutions pour ça.. (Il convient de réécouter « Et si en plus y a personne », de Souchon)..

C’est donc pour cela que l’un des exercices de ce mois est un olivier, arbre de Paix. Il y a aussi des olives, et un magnifique embrasement d’automne.. De quoi faire de belles aquarelles. Les premières réponses ont déjà été affichées.

Je vous remercie pour vos nombreux messages sympathiques (auxquels je n’ai jamais assez de temps pour répondre), ainsi que pour votre fidélité.. Je m’effraie parfois du nombre de lecteurs de ce blog.. Des centaines.. (sans compter les non abonnés dans l’anonymat derrière leur écran..) A la limite ça fout la trouille.. (comme disait Alain Chabat)..

Bon, je vous laisse . Dans l’intense voyage de l’émerveillement, même des petits riens, dans la valse à trois temps (ou à 1000 temps) qui fait votre vie…

A bientôt !